Ironiquement, en 2016, des femmes africaines ont été violées par les mêmes rebelles libyens qui ont renversé Kadhafi. Cela fait partie d'une image plus large de l'abus des Africains noirs en Libye qui émerge à la suite de la victoire rebelle, né des allégations que Kadhafi a souvent embauché des Africains subsahariens pour se battre pour lui. [12]
Des allégations ont été formulées en 2011 selon lesquelles le Viagra et d'autres drogues impuissantes étaient distribuées par Kadhafi pour soutenir les viols. [2] Les accusations ont été démenties par les diplomates libyens en tant que propagande. [2] En juin 2011, la Cour pénale internationale a ouvert une enquête sur les allégations de viol visant à ajouter les viols à la liste des accusations de crimes de guerre de Kadhafi. [3] [4] Amnesty International, Human Rights Watch [5] et Médecins Sans Frontières [6] ont échoué à trouver des preuves directes de viols massifs et le manque de preuves de ces allégations a été confirmé par l'enquêteur de l'ONU, M. Cherif Bassiouni. [7]
Des preuves généralisées de viols par des soldats libyens ont émergé au cours des dernières semaines et des derniers mois, un médecin en Libye ayant découvert 259 cas où des femmes ont déclaré avoir été violées par des miliciens fidèles au colonel Kadhafi dans divers endroits du pays.
Parlant à CNN le mois dernier, Moreno-Ocampo a fait des allégations similaires que les forces de Kadhafi utilisaient le viol et qu'il y avait des réclamations des forces de sécurité utilisant le viagra comme "un outil de viol massif".
Ironiquement, en 2016, des femmes africaines ont été violées par les mêmes rebelles libyens qui ont renversé Kadhafi. Cela fait partie d'une image plus large de l'abus des Africains noirs en Libye qui émerge à la suite de la victoire rebelle, né des allégations que Kadhafi a souvent embauché des Africains subsahariens pour se battre pour lui. [12]
Des allégations ont été formulées en 2011 selon lesquelles le Viagra et d'autres drogues impuissantes étaient distribuées par Kadhafi pour soutenir les viols. [2] Les accusations ont été démenties par les diplomates libyens en tant que propagande. [2] En juin 2011, la Cour pénale internationale a ouvert une enquête sur les allégations de viol visant à ajouter les viols à la liste des accusations de crimes de guerre de Kadhafi. [3] [4] Amnesty International, Human Rights Watch [5] et Médecins Sans Frontières [6] ont échoué à trouver des preuves directes de viols massifs et le manque de preuves de ces allégations a été confirmé par l'enquêteur de l'ONU, M. Cherif Bassiouni. [7]
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